Le Florence de la chanteuse Charlotte Cardin
Art, pâtes, vin, et on recommence.
Alors qu’elle se trouvait à Paris en 2019 pour promouvoir sa musique, Charlotte Cardin est allée à Florence passer une semaine romantique avec son amoureux. L’auteure-compositrice-interprète nommée aux Juno a été inspirée par la riche histoire musicale de la ville, l’architecture de la Renaissance (elle a acheté un appareil photo compact pour l’immortaliser) et l’art classique (elle s’est même mise à la peinture une fois rentrée à Montréal). Gourmande, elle avait demandé à ses fans (et à sa mère) où goûter les plus délicieux plats toscans. À l’automne, de retour en Europe pour tourner un clip pour son prochain album, Phoenix (à paraître au printemps), elle a de nouveau ressenti l’appel de la ville (et de ses pâtes) : « Je voulais aller à Florence quelques jours pour retourner aux restos dont je me suis éprise. »
Vérifiez les exigences d’entrée imposées par le gouvernement avant de voyager.
Les 5 adresses de Charlotte à Florence
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Il Santino —
On a pris quelques fois l’apéro à cette douillette buvette : vins toscans avec charcuteries gratuites. Puis on passait à côté, au resto frère plus chic, Il Santo Bevitore, qui sert la burrata la plus fraîche que j’aie jamais mangée.
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Le Gallerie Degli Uffizi —
Le célèbre musée des Offices a une fabuleuse collection. J’ai eu un faible pour les toiles de Raphaël, les nombreuses madones et la salle consacrée au Caravage ; j’ai adoré voir sa Méduse en personne.
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Mercato di Sant’Ambrogio —
Ce bruyant marché de délicieux produits du terroir est rempli de gens du coin et de touristes. On a visité tellement de restos que c’était bien de ramasser charcuteries et pain frais pour un souper maison.
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Cibrèo Caffè —
J’ai pris des pâtes en sauce à la viande à quelques endroits en ville, puisque j’aime les pâtes à la bolognaise, mais je ne peux oublier celles de ce café, qu’au moins 10 de mes abonnés Instagram m’avaient suggéré. C’était des tagliolini frais et la sauce était exquise.
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Galleria dell’Accademia di Firenze —
L’aile des instruments de musique est fascinante : j’y ai vu un pianoforte au motif floral quasi psychédélique et le seul stradivarius alto de 1690 entièrement conservé.