Les nombres d’heures travaillées par jour, d’heures de vol par mois et de fuseaux horaires franchis, ainsi que le domicile des pilotes, sont des facteurs à considérer pour ménager aux équipages un repos suffisant. La tâche est plus facile si on est en forme, alors j’ai toujours une tenue de sport dans mon sac. De nombreux pilotes apportent leurs propres repas, car l’alimentation peut contrer les effets du décalage horaire. Et, dans mon cas, une petite promenade suffit souvent à me remettre sur pied après un long vol.
Photo : Reynard Li
Doug Morris est auteur, météorologue, instructeur et commandant de Boeing 787 d’Air Canada.